Bon alors là on peut dire que je fais fort, dans
Bon alors là on peut dire que je fais fort, dans le genre je ne tiens
pas mes engagements, je suis au top of the pop.
Je n’ai pas oublié mon
petit blog, mais j’ai la tête dans les cartons, je déménage dans moins
de trois semaines, enfin bref, j’arrête le 3615 ma vie mon œuvre, on
s’en tape le coquillard.
Hier la pluie s’est abattue sur cette bonne vieille ville de Lyon, une
seule solution pour éviter de sombrer dans la dépression, un petit ciné
entre copine, c’est décidé, on ira voir PS I Love You.
Environ 20 minutes après le début du film j’ai déjà vidé mon paquet de
mouchoirs mon mascara coule qu’il n’en peut plus, comment ça je suis
une mauviette ???
Ce film est vraiment génial, j’ai adoré, j’avoue les références
philosophiques sont absentes, mais mince il est bon de rentrer au ciné
et d’en ressortir en se disant tout simplement que l’on est heureux, et
que la crise du livret A ou l’augmentation du papier toilette rose à
fleurs on s’en tape le fessier par terre.
Un film que je recommande vivement, bon je ne suis pas certaine que
votre n’amoureux trouve un quelconque intérêt dans le scénario, mais
pour une virée entre cop’s je vous assure un véritable moment de
plaisir.
On résume : Holly et Jerry sont un couple amoureux menant une vie
parfaite. A la suite de la mort soudaine de Jerry, Holly sombre dans
une dépression. C'est alors qu'elle reçoit une lettre, la première
d'une série de dix, rédigées par Jerry avant sa mort. Ces lettres,
agencées tel un jeu de piste, lui donnent des instructions de choses à
faire pour, à terme, tourner la page et enfin réapprendre à vivre.